top of page
9782264059291ORI.jpg

LE SANG DES BISTANCLAQUES, ODILE BOUHIER : ROMANCE OU SCIENCE ?

Lyon, mai 1920. Une enquête est ouverte à la suite de la découverte du cadavre putréfié d’une veille femme.

Pour ne pas ternir la réputation de sa ville, rivale de Paris et ses Brigades du Tigre, le procureur confie l’affaire au tout nouveau laboratoire de la police scientifique de Lyon, le premier au monde, dirigé par deux experts : l’éminent professeur Hugo Salacan et le commissaire Victor Kolvair, rescapé des tranchées.

L’autopsie du corps révèle d’étranges sévices…

L’enquête criminelle dévoilera deux visions de la police et de la science, dans une France en pleine mutation.

Le Sang des bistanclaques qui relate le choc entre la police à l’ancienne et la police scientifique à ses tout débuts, présente réellement un support scientifique véridique et assez solide (à l’époque) en matière de matériel d’investigation, d’autopsie, d’anatomie, d’entomologie, d’empreintes… Un roman à lire !

Untitled10.jpg

Le Sang des bistanclaques est une formidable reconstitution du monde des soyeux et de celui de la police, une plongée dans la société lyonnaise des Années folles (suite à la Première Guerre mondiale). C’est aussi au parcours d’une folie individuelle, le portait d’un enfant de la Croix-Rousse devenu tueur en série.

Odile Bouhier est une scénariste formée à la Femis-Ensmis (Ecole nationale supérieure des métiers de l’image et du son), elle signe avec Le Sang des bistanclaques son premier roman.

Dans son premier roman la romancière évoque des principes scientifiques, qui, bien que peu développés par rapport à la science actuelle, restent assez pertinents et véridiques dans le cadre des premiers pas de la science et de la police scientifique dans les années 1920.

©2019 BY LA SCIENCE DANS LES FILMS ET LES ROMANS POLICIERS. 

bottom of page